Un grand coup pour forcer le virage électrique et la diminution de gaz à effet de serres (GES) au Québec

Fondation de la Mosquée Hassan II, de Casablanca, Maroc

C’est lors d’une conférence de presse en novembre dernier que le Ministre de l’environnement, M. Benoit Charrette, annonçait que la vente de véhicule neuf à essence prendrait fin en 2035 au Québec.  Cette mesure fait partie du Plan pour une économie plus verte et vise les véhicules à usage personnel, excluant les véhicules de type commercial.

Le gouvernement Legault a pour objectif qu’un million et demi de véhicules électriques ou hybrides rechargeables circulent sur les routes du Québec d’ici 10 ans, ce qui représenterait près de 30 % du parc automobile de la province. Il a revu à la hausse la cible qui avait été d’abord fixée à 1 million pour la même période.

Québec mise beaucoup sur l’électrification des transports pour atteindre son objectif de réduire de 37,5 % les émissions de GES dans notre province d’ici 2030 par rapport au niveau de 1990.  Pour ce faire, il compte « forcer » les constructeurs automobiles à alimenter le marché en véhicule électrique, éliminant ainsi les délais de plusieurs mois qui sont présentement un irritant pour les consommateurs.  Québec compte aussi maintenir son programme d’aide à l’achat d’un véhicule électrique : Roulez vert avec sa subvention de 8000$. Le programme Roulez vert est d’ailleurs une des mesures les plus coûteuses du plan vert du gouvernement Legault, mais il demeure essentiel afin de faire du véhicule électrique un choix avantageux, alors que son coût d’achat est plus élevé que celui d’une auto à essence. Le gouvernement compte aussi accélérer le déploiement du réseau des bornes de recharge, condition essentielle pour assurer la croissance de l’auto électrique.

La moitié des véhicules électriques vendus au Canada le sont déjà au Québec et le Plan pour une économie verte du ministre Charette disposera d’une enveloppe bonifiée totalisant 6,7 milliards de dollars en cinq ans.  Souhaitons que notre province continue de mettre de l’avant son objectif de diminution de GES et se démarque comme première province Canadienne avec son quota de véhicules électriques et son objectif fixé pour 2035.

Source : La presse

Photo : David Boily, Archives La Presse

C’est lors d’une conférence de presse en novembre dernier que le Ministre de l’environnement, M. Benoit Charrette, annonçait que la vente de véhicule neuf à essence prendrait fin en 2035 au Québec.  Cette mesure fait partie du Plan pour une économie plus verte et vise les véhicules à usage personnel, excluant les véhicules de type commercial.

Le gouvernement Legault a pour objectif qu’un million et demi de véhicules électriques ou hybrides rechargeables circulent sur les routes du Québec d’ici 10 ans, ce qui représenterait près de 30 % du parc automobile de la province. Il a revu à la hausse la cible qui avait été d’abord fixée à 1 million pour la même période.

Québec mise beaucoup sur l’électrification des transports pour atteindre son objectif de réduire de 37,5 % les émissions de GES dans notre province d’ici 2030 par rapport au niveau de 1990.  Pour ce faire, il compte « forcer » les constructeurs automobiles à alimenter le marché en véhicule électrique, éliminant ainsi les délais de plusieurs mois qui sont présentement un irritant pour les consommateurs.  Québec compte aussi maintenir son programme d’aide à l’achat d’un véhicule électrique : Roulez vert avec sa subvention de 8000$. Le programme Roulez vert est d’ailleurs une des mesures les plus coûteuses du plan vert du gouvernement Legault, mais il demeure essentiel afin de faire du véhicule électrique un choix avantageux, alors que son coût d’achat est plus élevé que celui d’une auto à essence. Le gouvernement compte aussi accélérer le déploiement du réseau des bornes de recharge, condition essentielle pour assurer la croissance de l’auto électrique.

La moitié des véhicules électriques vendus au Canada le sont déjà au Québec et le Plan pour une économie verte du ministre Charette disposera d’une enveloppe bonifiée totalisant 6,7 milliards de dollars en cinq ans.  Souhaitons que notre province continue de mettre de l’avant son objectif de diminution de GES et se démarque comme première province Canadienne avec son quota de véhicules électriques et son objectif fixé pour 2035.

Source : La presse

Photo : David Boily, Archives La Presse

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